La porte Saint-Thomas ouverte en 1740 lors des travaux du troisième agrandissement de la ville est la troisième de ce nom.
La première est l’actuelle porte d’accès à la cour du château. Avant l’achèvement de ce dernier au début du 16e siècle, elle donnait directement sur l’extérieur de la ville.
Une seconde porte Saint-Thomas fut ouverte entre la tour Quic-en-Groigne et l’actuel « hôtel de France et de Chateaubriand », lui-même bâti sur l’emplacement de l’ancienne chapelle Saint-Thomas dans le dernier quart du 19e siècle.
Cette chapelle fut annexée au 13e siècle au premier hôpital de la ville fondé sur cet emplacement.
C’est auprès de cette porte que fut également établi le bureau des bains. En 1835, la ville de Saint-Malo prit la décision de développer les bains de mer qui connurent un succès grandissant. Les premières cabines mobiles furent mises à disposition des baigneurs et un établissement de bains s’ouvrit dès 1838 sur le côté nord du château.
Des cabines roulantes tirées par des chevaux furent mises à la disposition des baigneurs. En 1843, hommes et femmes se baignaient encore dans des parties séparées de la plage. En 1905, le port d’un pantalon descendant au-dessous des genoux, d’une chemise ou d’un gilet était encore obligatoire.
La première est l’actuelle porte d’accès à la cour du château. Avant l’achèvement de ce dernier au début du 16e siècle, elle donnait directement sur l’extérieur de la ville.
Une seconde porte Saint-Thomas fut ouverte entre la tour Quic-en-Groigne et l’actuel « hôtel de France et de Chateaubriand », lui-même bâti sur l’emplacement de l’ancienne chapelle Saint-Thomas dans le dernier quart du 19e siècle.
Cette chapelle fut annexée au 13e siècle au premier hôpital de la ville fondé sur cet emplacement.
C’est auprès de cette porte que fut également établi le bureau des bains. En 1835, la ville de Saint-Malo prit la décision de développer les bains de mer qui connurent un succès grandissant. Les premières cabines mobiles furent mises à disposition des baigneurs et un établissement de bains s’ouvrit dès 1838 sur le côté nord du château.
Des cabines roulantes tirées par des chevaux furent mises à la disposition des baigneurs. En 1843, hommes et femmes se baignaient encore dans des parties séparées de la plage. En 1905, le port d’un pantalon descendant au-dessous des genoux, d’une chemise ou d’un gilet était encore obligatoire.