La Houssaye |
La maison et le jardin de « la Houxaie » ou Houssaye sont mentionnés dans les plus anciens comptes de la ville depuis la fin du 15e siècle.
Les détails d’architecture du logis à tourelle situé au n°2 remontent à cette époque et permettent de le considérer comme la plus ancienne maison de la ville. La tradition prétend qu’Anne de Bretagne y aurait séjourné lorsqu’elle vint inspecter les travaux du château.
A la fin du 16e siècle, cette maison comprenait un jardin et des dépendances qui rejoignaient le mur d’enceinte primitif de la ville et qui ont disparu pour faire place à des maisons plus récentes.
Le n°10 représente un bon exemple d’hôtel malouin du milieu du 17e siècle avec son portail, sa façade de pierre de taille et son petit pavillon s’avançant vers la rue. A l’intérieur, un plafond peint en trompe-l’œil a été conservé.
A l’angle de l’ Escalier de la Grille, une vieille maison présente une baie ornée d’un panneau à médaillons sculptés représentant les profils de Jacques Cartier (Saint-Malo, 1491 – Saint-Malo, 1557) et son épouse, Catherine des Granges, qui habitèrent rue de Buhen (aujourd’hui rue Chateaubriand).
Les détails d’architecture du logis à tourelle situé au n°2 remontent à cette époque et permettent de le considérer comme la plus ancienne maison de la ville. La tradition prétend qu’Anne de Bretagne y aurait séjourné lorsqu’elle vint inspecter les travaux du château.
A la fin du 16e siècle, cette maison comprenait un jardin et des dépendances qui rejoignaient le mur d’enceinte primitif de la ville et qui ont disparu pour faire place à des maisons plus récentes.
Le n°10 représente un bon exemple d’hôtel malouin du milieu du 17e siècle avec son portail, sa façade de pierre de taille et son petit pavillon s’avançant vers la rue. A l’intérieur, un plafond peint en trompe-l’œil a été conservé.
A l’angle de l’ Escalier de la Grille, une vieille maison présente une baie ornée d’un panneau à médaillons sculptés représentant les profils de Jacques Cartier (Saint-Malo, 1491 – Saint-Malo, 1557) et son épouse, Catherine des Granges, qui habitèrent rue de Buhen (aujourd’hui rue Chateaubriand).