Avant la mise en place des plaques indicatrices de noms de rues, la tradition orale désignait les rues par un détail remarquable qui leur était propre : un puits (rue du Puits-Aubray), une croix (Croix du Fief), un marché (Vieille Boucherie), une corporation de métiers (Cordiers, Forgeurs, Bouchers…) ou une enseigne : (la Corne de cerf, la Pie qui boit…)
La rue du Chat qui danse porte selon toute vraisemblance le nom d’une enseigne désignant quelque lieu de rendez-vous recherché par les marins profitant d’une escale pour festoyer après de longues traversées en mer.
La tradition orale veut que l’animal de cette enseigne rappelle l’unique victime de l’explosion de la machine infernale lors du bombardement anglo-hollandais du 26 au 29 novembre 1693.
Un moine du couvent des bénédictins tout proche a commenté ces évènements mémorables en vers :
L’Anglais qui comme la montagne
N’enfanta qu’un pauvre rat
Dans sa malouine campagne
Ne fit mourir qu’un pauvre chat
Au n° 2, se trouve l’entrée de l’hôtel de la Bertaudière. Les parents de Robert Surcouf (Saint-Malo, 1773 – Saint-Malo, 1827) habitèrent cette maison. Au n° 4, rue de la Bertaudière, un portail porte la date de 1649.
La rue du Chat qui danse porte selon toute vraisemblance le nom d’une enseigne désignant quelque lieu de rendez-vous recherché par les marins profitant d’une escale pour festoyer après de longues traversées en mer.
La tradition orale veut que l’animal de cette enseigne rappelle l’unique victime de l’explosion de la machine infernale lors du bombardement anglo-hollandais du 26 au 29 novembre 1693.
Un moine du couvent des bénédictins tout proche a commenté ces évènements mémorables en vers :
L’Anglais qui comme la montagne
N’enfanta qu’un pauvre rat
Dans sa malouine campagne
Ne fit mourir qu’un pauvre chat
Au n° 2, se trouve l’entrée de l’hôtel de la Bertaudière. Les parents de Robert Surcouf (Saint-Malo, 1773 – Saint-Malo, 1827) habitèrent cette maison. Au n° 4, rue de la Bertaudière, un portail porte la date de 1649.