La place aux Herbes a été créée lors de la reconstruction de la cité historique commencée en 1947. Son nom rappelle celui de l’ancienne rue des Herbes. Elle reprend en réalité le prolongement de l’ancienne rue des Lauriers dont la partie sud est conservée, débouchant aujourd’hui au niveau de la rue de la Pie qui boit.
Sur le côté nord, la place aux Herbes communique avec la nouvelle rue Gouin de Beauchesne.
Cette place garde encore quelques vestiges anciens : l’arrière du n° 7, rue du Point du Jour (17e siècle) et les façades (17e siècle) formant l’angle du 6, rue de la Harpe et du 1, rue des Lauriers, qui ont été reconstruites à l’identique par les Monuments Historiques.
Le côté est de la place est bordé par un îlot reconstruit sur les plans de Louis Arretche (1905-1991).
Sur son côté ouest, s’ouvre par un passage sous immeuble la rue Vincent de Gournay, dans laquelle se situait autrefois l’auberge de la Malice, lieu de rendez-vous des marins, et dont les numéros 9, 11 et 13 ont été rebâtis après le bombardement anglo-hollandais de 1695.
Sur le côté nord, la place aux Herbes communique avec la nouvelle rue Gouin de Beauchesne.
Cette place garde encore quelques vestiges anciens : l’arrière du n° 7, rue du Point du Jour (17e siècle) et les façades (17e siècle) formant l’angle du 6, rue de la Harpe et du 1, rue des Lauriers, qui ont été reconstruites à l’identique par les Monuments Historiques.
Le côté est de la place est bordé par un îlot reconstruit sur les plans de Louis Arretche (1905-1991).
Sur son côté ouest, s’ouvre par un passage sous immeuble la rue Vincent de Gournay, dans laquelle se situait autrefois l’auberge de la Malice, lieu de rendez-vous des marins, et dont les numéros 9, 11 et 13 ont été rebâtis après le bombardement anglo-hollandais de 1695.